Mon premier documentaire

Depuis Octobre 2016, je me retrouve à faire mon service volontaire européen dans l’association de Idrissa Badji, ADIF, en tant que gérant au sein de son WebTV, la communication des projets de mobilité internationale, la formation et aide de la coopération Nord-Sud, dans les aspects de la la réalisation de films, la conception graphique, conception de sites Web, etc …

Il faisait bien longtemps que je réfléchissais à la possibilité de démarrer en tant que bénévole, et la France était ma principale destination, à cause de mon intérêt pour le pays, trouver un emploi là-bas, et aussi d’élargir mes possibilités dans la recherche d’un emploi au Canada, être capable de parler de ses 2 langues officielles. Après un premier choc par des problèmes linguistiques (Je suppose que là, je pouvais parler à presque tout le monde en anglais, et je découvris que non, dans notre pays voisin l’utilisation de l’anglais est à un niveau similaire à notre), je me vois déjà en mesure de tenir une conversation en français, bien que je continue mes efforts pour améliorer mon niveau journée a journée.

Dans le cadre de ce projet pour un an, j‘ai eu la grande chance de faire un voyage de 9 jours à Dakar (Sénégal), principalement dans le quartier populaire de Guédiawaye, où se trouvent nos 6 volontaires français qui font leur projet de “Service Civique”, et dont leurs associations que je suis allé à chercher leurs demandes d’aide en communication, soit faire leurs affiches, conception de logos, vidéos promotionnelles, des sites Web, et en profitant de mon séjour, j’ai commencé ce projet documentaire pour promouvoir l’association ADIF comme une association pour l’envoi et la réception des bénévoles, ainsi que leur travail dans le pays africain de nos partenaires.

La casa misteriosa

La-bas j’ai rencontré un peuple extrêmement sympathique et ouvert, désireux à partager tout ce qu’ils ont, et en même temps, de connaître mon histoire. Une nouvelle façon de voir la vie, une nouvelle façon de manger (Bien que, en raison de ses limites cause de la religion, des terres arables et d’autres, avec pas beaucoup de varieté) et enfin, de nouvelles coutumes qui ont élargí encore ma façon de regarder le monde.

Peut-être parce que ce sont les associations où plus de temps j’ai passé en sachant comment ils travaillent, ceux que ils ont touché mon cœur étaient la radio communautaire Railbi Fm, le centre Omar Laye où Hugo sert comme entraîneur de basket-ball pour les enfants de tous âges ainsi que pour l’équipe au fauteuil roulant et surtout, le centre scolaire Keur Khaleyi, où ils reçoivent les enfants des familles qui ne peuvent pas se permettre d’aller à l’école, ou des enfants qui ont été retirés du système d’éducation pour d’autres raisons, jusqu’à des cours du soir pour les adultes qui ne sont pas allés à l’école, un centre qui fonctionne tous les jours de la semaine avec une équipe complètement dédiée.

Baobab en SenegalCela m’a aussi permis de découvrir mon premier baobab, un arbre qui me fascinait depuis l’enfance, probablement depuis que ma mère m’a lu “Le Petit Prince.

Nous continuons à filmer à mon tour, dejà à Cognac, avec notre vie quotidienne dans l’association, et après des semaines de sélection des matériaux, montage et post-production (grâce à notre collègue África de l’aide avec ces beaux cadres pour les noms!), déjà quelques jours que le résultat de mon voyage est il y a disponible.

L’expérience a été très enrichissante pour moi, parfois difficile d’être mon premier projet “Seul en face le danger”, j‘avoir à prendre soin de tout, mais d’une grande aide pour continuer à évoluer mes compétences dans le domaine audiovisuelJ’ai pu identifier les problèmes et les défauts, principalement le manque de matériel d’éclairage, ne pas avoir enregistré toutes les ressources que je voulais quand je devais prendre le montage ou la nécessité d’une meilleure organisation dans la planification des enregistrements et interviews. Je devais aussi apprendre à se battre contre les imprévus pour ne me éloignent pas trop loin de l’idée initiale que nous avons soulevée dans le document préproduction. Mais je suis satisfait du résultat.

Comme le désir a retourné à mon tête, je vais dépoussiérer le projet d’un documentaire transmedia qui a est venu à moi il y a 4 ans pour voir si je peux commencer.

J’espère que ça vous plait :